Rugby XV
Bienvenue sur Rugby XV !

Nous vous invitons dès maintenant à vous enregistrer (c'est gratuit). Vous pourrez ainsi profiter pleinement de tout le contenu du forum, participer aux discussions dans un esprit de convivialité, de respect, et dans la bonne humeur.

Une fois inscrit, la tradition est de passer par la rubrique "Présentations". Ainsi, notre staff et nos membres actifs ne manqueront pas de vous accueillir et de vous guider afin de passer de bons moments sur Rugby XV.

A tout de suite, nous vous attendons ;-)
Rugby XV
Bienvenue sur Rugby XV !

Nous vous invitons dès maintenant à vous enregistrer (c'est gratuit). Vous pourrez ainsi profiter pleinement de tout le contenu du forum, participer aux discussions dans un esprit de convivialité, de respect, et dans la bonne humeur.

Une fois inscrit, la tradition est de passer par la rubrique "Présentations". Ainsi, notre staff et nos membres actifs ne manqueront pas de vous accueillir et de vous guider afin de passer de bons moments sur Rugby XV.

A tout de suite, nous vous attendons ;-)
Rugby XV
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Communauté ovale de RugbyXV sur le forum Rugby XV
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  RugbyCoachingRugbyCoaching  
Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €

 

 La tragedie du sport universitaire aux USA

Aller en bas 
+3
rémy63
arnal 2487
Expat 44
7 participants
AuteurMessage
Expat 44
H-Cup
Expat 44


Masculin
Nombre de messages : 4114
Age : 80
Localisation : Chapel Hill (USA)
Loisirs : ski alpin, ski de fond, randonnee, jazz, cuisine
Club supporté : CAL (Universite de Californie a Berkeley), PUC, XV de France, et les Sorfettes
Date d'inscription : 03/01/2008

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyVen 25 Nov 2011 - 15:05

Pour fixer le contexte, voici un document du monde...
http://www.lemonde.fr/sport/article/2011/11/25/dopage-la-suspicion-perpetuelle-est-lassante-pour-un-ancien-joueur-de-nfl_1609243_3242.html

Le sport universitaire fait miroiter le sport professionnel a des jeunes qui s'ils ne reussissent pas a passer a la NBA ou NFL seront a la rue... Plus ( en Anglais) plus tard...
Revenir en haut Aller en bas
arnal 2487
Crabos
arnal 2487


Masculin
Nombre de messages : 636
Age : 39
Localisation : Dans la campagne
Club supporté : University of Florida Rugby Football Club, Stade Toulousain, SU Agen, Union Bègle-Bordeaux, CA Périgueux
Date d'inscription : 10/05/2011

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyVen 25 Nov 2011 - 17:34

j'ai bcp aimé cette itw, au moins un sportif pro qui ne pratique pas la langue de bois. On est loin de notre beau rugby hexagonal ou personne ne se dope, personne ne prend rien, mais où un joueur peut prendre 7 ou 8 kg de muscles entre mi-juin et fin-août (Dominici est le premier qui me vient à l'esprit, il y a quelques saisons), où les joueurs jouent sous infiltration quand ils ont une blessure (infiltration faite avec des produits classés comme dopants, et sans lesquels le joueur ne serait pas apte, mais ce n'est pas du dopage, non non non).
Le public demande toujours plus de performances, de spectacle, de dépassement des limites, or le corps a un seuil, et seuls les produits peuvent permettre de le depasser.
Ds le sport universitaire US il y a cette situation dans laquelle le programme sportif permet d'acceder à la fois à un diplome (meme si on n'a pas le niveau scolaire d'aller en fac) et à la vie de sportif pro, la pression est dc enorme (surtout vu l'importance populaire et mediatique du sport U là-bas), surtout pr les jeunes venant de milieux defavorisés.
Ceci dit, la France n'est pas organisée pareil, mais il se passe la meme chose ds les centres de formations des clubs de tous sports, c'est simplement plus silencieux parce que les niveaux jeunes n'interessent que tres peu et n'ont pas d'enjeu en eux-même.
L'organisation US en théorie est top: tu rentre à la fac grace au sport, ds l'espoir de percer, mais si t'arrive pas à etre pro tu auras un diplome et ne seras pas à la rue. Apres ça a derivé, pression economique et mediatique sur des gens tres jeunes, universités qui jouent pas le jeu et "truquent" les exams pr que les tacherons soient chez eux pr le sport alors qu'ils sont pas assez bons pr leur diplome...
Revenir en haut Aller en bas
Expat 44
H-Cup
Expat 44


Masculin
Nombre de messages : 4114
Age : 80
Localisation : Chapel Hill (USA)
Loisirs : ski alpin, ski de fond, randonnee, jazz, cuisine
Club supporté : CAL (Universite de Californie a Berkeley), PUC, XV de France, et les Sorfettes
Date d'inscription : 03/01/2008

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyVen 25 Nov 2011 - 22:06

Certains de mes collegues, passes (avant d'arriver a l'Universite de Chicago ou a Berkeley) par les grosses ecuries du Football Americain (Florida State, Ohio State, Michigan State, USC, Texas, Nebraska et j'en passe), me racontaient comment des "messieurs tres bien" venaient leur expliquer tres discretement (en fermant la porte du bureau du prof) que tel ou tel joueur devait absolument obtenir ce que l'on appelle pudiquement "a passing grade" car le match de samedi "vous comprenez, Professeur" est le match le plus important de l'annee ou permet de gagner le championnat, et bla bla bla...

Je vais poster des articles en Anglais qui demontrent l'hypocrisie du sport universitaire aux USA. Au moins, le rugby dans nos universites (US), c'est une affaire de club, ce n'est pas ce que l'on appelle a "varsity sport." Les joueurs sont de vrais etudiants...
Revenir en haut Aller en bas
Expat 44
H-Cup
Expat 44


Masculin
Nombre de messages : 4114
Age : 80
Localisation : Chapel Hill (USA)
Loisirs : ski alpin, ski de fond, randonnee, jazz, cuisine
Club supporté : CAL (Universite de Californie a Berkeley), PUC, XV de France, et les Sorfettes
Date d'inscription : 03/01/2008

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyVen 25 Nov 2011 - 22:11

arnal 2487 a écrit:


L'organisation US en théorie est top: tu rentre à la fac grace au sport, ds l'espoir de percer, mais si t'arrive pas à etre pro tu auras un diplome et ne seras pas à la rue. Apres ça a derivé, pression economique et mediatique sur des gens tres jeunes, universités qui jouent pas le jeu et "truquent" les exams pr que les tacherons soient chez eux pr le sport alors qu'ils sont pas assez bons pr leur diplome...
En theorie, c'est tres bien pense. Le probleme, c'est qu'une enorme proportion des joueurs n'auront jamais de vrais diplomes, ne suivront jamais une filiere vraiment universitaire, et se retrouveront sans rien apres avoir fait gagner des millions a l'Universite et, surtout, aux entraineurs vereux. Certains des plus celebres entraineurs de foot et de basket sont de veritables teignes multi-millionnaires qui exploitent des jeunes paumes de maniere ehontee...
Revenir en haut Aller en bas
arnal 2487
Crabos
arnal 2487


Masculin
Nombre de messages : 636
Age : 39
Localisation : Dans la campagne
Club supporté : University of Florida Rugby Football Club, Stade Toulousain, SU Agen, Union Bègle-Bordeaux, CA Périgueux
Date d'inscription : 10/05/2011

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptySam 26 Nov 2011 - 14:50

c'est ce que je pense aussi.
et l'esprit rugby ds vos universités (en tout cas à Florida) est genial parce que les joueurs se resserrent pour leur "petit" sport confidentiel, j'ai adoré y joué, en retrouvant meme les derbys (Florida State, Tennessee).
Apres on peut pas comparer car nos sports universitaires sont totalement delaissés, exces inverse (ds mon université francaise on avait moins d'equipement et moins d'infrastructures qu'à UF, on avait meme pas acces à l'unique pelouse de l'université pr s'entrainer, on devait squatter le terrain d'un club de la ville, alors que le rugby est plus important en france!!!). Mais je pense qu'il se produit la meme chose qu'aux USA ds les clubs pros francais. En tout cas en soccer c'est ce qu'il se passe: les types rentrent en centre de formation avant le lycée, on leur file des cours tres tres allégés en leur expliquant qu'ils ont pas besoin de l'ecole parce qu'ils seront pros et gagneront des millions (faut ecouter anelka dire "ne brulons pas la peau de l'ours avant de l'avoir vendue", ecouter parler les zidane, ribery et cie, zero culture, meme pas la basique, un français plus qu'approximatif, bref une education niveau ecole primaire). S'ils le sont pas, ben à la rue sans rien, meme pas un diplome obtenu par complaisance comme aux USA. Et c'est ds tous les sports: l'autre jour le tennisman Jo-Wilfried Tsonga etait invité sur canal+, on lui a demandé de lire des questions à l'autre invité de l'emission, et il butait sur chaque mot, comme un gosse, incapable de suivre la ponctuation de la phrase, bref il ne sait pas lire correctement. Toute sa vie est basée sur le sport, et s'il n'avait pas percé il serait à la rue, sans rien.
C'est tres criant aux USA parce qu'il y a ce systeme de sports universitaires tres suivis et mediatisés, mais c'est pareil en france, sauf que c'est caché et hors des universités, donc ça se voit moins.
Malheureusement le probleme que tu souleve concerne tous les sports professionnels, la jeunesse y est une marchandise. Le paradoxe americain c'est que ça se passe dans les lieux d'enseignement, mais il faut bien garder à l'esprit qu'en france ces memes jeunes prometteurs n'ont meme pas acces à l'université, ils sont livrés corps et ame aux clubs sportifs
Revenir en haut Aller en bas
rémy63
Modérateur
Modérateur



Masculin
Nombre de messages : 4590
Date d'inscription : 08/05/2008

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptySam 26 Nov 2011 - 15:06

arnal 2487 a écrit:
c'est ce que je pense aussi.
Apres on peut pas comparer car nos sports universitaires sont totalement delaissés, exces inverse. Mais je pense qu'il se produit la meme chose ds les clubs pros. En tout cas en soccer c'est ce qu'il se passe: les types rentrent en centre de formation avant le lycée, on leur file des cours tres tres allégés en leur expliquant qu'il seront pros et gagneront des millions. S'ils le sont pas, ben à la rue sans rien, meme pas un diplome obtenu par complaisance comme aux USA. Et c'est ds tous les sports: l'autre jour le tennisman Jo-Wilfried Tsonga etait invité sur canal+, on lui a demandé de lire des questions à l'autre invité de l'emission, et il butait sur chaque mot, comme un gosse, il ne sait pas lire correctement. Toute sa vie est basée sur le sport, et s'il n'avait pas percé il serait à la rue, sans rien.
C'est tres criant aux USA parce qu'il y a ce systeme de sports universitaires tres suivis et mediatisés, mais c'est pareil en france, sauf que c'est caché et hors des universités, donc ça se voit moins

Non, je suis navré. En rugby, notre sport, ce n'est pas le cas. L'ASM base son centre de formation sur la réussite scolaire plus que sur les résultats. Toulouse a une école intégré au club pour aider les jeunes joueurs et les plus vieux. Le Handball fait également de gros efforts pour soutenir les jeunes joueurs dans leurs études, en marge de leurs progressions sportives.

Le foot est un sport gangréné par l'argent et où seule la réussite sportive importe. Il y a encore des valeurs dans certains sports plus fortes que juste le sport. 90% des jeunes du centre de formation de l'ASM sortent avec un diplôme dès la fin de leur formation, pratiquement 100% après, 60% font une carrière pro.

Ce n'est pas anodin de retrouver de JM Buttin à Polytech et autre Dusautoir en études d'ingénieur. On est loin des dérives du sport US ou du foot voire du tennis...
Revenir en haut Aller en bas
http://...
Expat 44
H-Cup
Expat 44


Masculin
Nombre de messages : 4114
Age : 80
Localisation : Chapel Hill (USA)
Loisirs : ski alpin, ski de fond, randonnee, jazz, cuisine
Club supporté : CAL (Universite de Californie a Berkeley), PUC, XV de France, et les Sorfettes
Date d'inscription : 03/01/2008

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptySam 26 Nov 2011 - 19:04

rémy63 a écrit:
arnal 2487 a écrit:
c'est ce que je pense aussi.
Apres on peut pas comparer car nos sports universitaires sont totalement delaissés, exces inverse. Mais je pense qu'il se produit la meme chose ds les clubs pros. En tout cas en soccer c'est ce qu'il se passe: les types rentrent en centre de formation avant le lycée, on leur file des cours tres tres allégés en leur expliquant qu'il seront pros et gagneront des millions. S'ils le sont pas, ben à la rue sans rien, meme pas un diplome obtenu par complaisance comme aux USA. Et c'est ds tous les sports: l'autre jour le tennisman Jo-Wilfried Tsonga etait invité sur canal+, on lui a demandé de lire des questions à l'autre invité de l'emission, et il butait sur chaque mot, comme un gosse, il ne sait pas lire correctement. Toute sa vie est basée sur le sport, et s'il n'avait pas percé il serait à la rue, sans rien.
C'est tres criant aux USA parce qu'il y a ce systeme de sports universitaires tres suivis et mediatisés, mais c'est pareil en france, sauf que c'est caché et hors des universités, donc ça se voit moins

Non, je suis navré. En rugby, notre sport, ce n'est pas le cas. L'ASM base son centre de formation sur la réussite scolaire plus que sur les résultats. Toulouse a une école intégré au club pour aider les jeunes joueurs et les plus vieux. Le Handball fait également de gros efforts pour soutenir les jeunes joueurs dans leurs études, en marge de leurs progressions sportives.

Le foot est un sport gangréné par l'argent et où seule la réussite sportive importe. Il y a encore des valeurs dans certains sports plus fortes que juste le sport. 90% des jeunes du centre de formation de l'ASM sortent avec un diplôme dès la fin de leur formation, pratiquement 100% après, 60% font une carrière pro.

Ce n'est pas anodin de retrouver de JM Buttin à Polytech et autre Dusautoir en études d'ingénieur. On est loin des dérives du sport US ou du foot voire du tennis...

Je suis heureux de savoir que notre sport, le rugby, continue a defendre des valeurs passees. Lorsque je vivais en France, les joueurs de l'equipe premiere du PUC etaient dentistes, kinesitherapeutes, prof, medecins, etc... Bref, ils avaient tous une profession... C'est important pour l'esprit de notre sport
Revenir en haut Aller en bas
DOMI
TOP 14
DOMI


Féminin
Nombre de messages : 2897
Age : 61
Localisation : extrème sud
Club supporté : SF
Date d'inscription : 06/11/2007

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyDim 27 Nov 2011 - 0:22

Expat 44 a écrit:
rémy63 a écrit:


Non, je suis navré. En rugby, notre sport, ce n'est pas le cas. L'ASM base son centre de formation sur la réussite scolaire plus que sur les résultats. Toulouse a une école intégré au club pour aider les jeunes joueurs et les plus vieux. Le Handball fait également de gros efforts pour soutenir les jeunes joueurs dans leurs études, en marge de leurs progressions sportives.

Le foot est un sport gangréné par l'argent et où seule la réussite sportive importe. Il y a encore des valeurs dans certains sports plus fortes que juste le sport. 90% des jeunes du centre de formation de l'ASM sortent avec un diplôme dès la fin de leur formation, pratiquement 100% après, 60% font une carrière pro.

Ce n'est pas anodin de retrouver de JM Buttin à Polytech et autre Dusautoir en études d'ingénieur. On est loin des dérives du sport US ou du foot voire du tennis...

Je suis heureux de savoir que notre sport, le rugby, continue a defendre des valeurs passees. Lorsque je vivais en France, les joueurs de l'equipe premiere du PUC etaient dentistes, kinesitherapeutes, prof, medecins, etc... Bref, ils avaient tous une profession... C'est important pour l'esprit de notre sport

J'ai bien peur que dans les nouvelles générations ça s'estompe..
Revenir en haut Aller en bas
arnal 2487
Crabos
arnal 2487


Masculin
Nombre de messages : 636
Age : 39
Localisation : Dans la campagne
Club supporté : University of Florida Rugby Football Club, Stade Toulousain, SU Agen, Union Bègle-Bordeaux, CA Périgueux
Date d'inscription : 10/05/2011

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyDim 27 Nov 2011 - 9:48

tu as raison Rémy, ds notre sport, ds le hand, bref ds les sports dont le salaire ne permet de capitaliser pr l'apres-carriere, une formation existe encore. Mais combien d'etudiants en medecine ds la generation qui eclot? comparé aux precedentes? Dusautoir, Jauzion sont ingés, mais ils sont trentenaires, c'est l'autre generation. Buttin n'est pas à X non plus, il fait une ecole sur Clermont qui lui a aménagé son emploi du temps (comme Noah a fait anthropologie à Florida). Mais ds la génération de Buttin, combien font des études? combien auront un diplôme non lié au sport qui leur permettra d'avoir une place? parce que si tous on la même formation ds leur club, il n'y aura pas de boulot pr tout le monde à la sortie, ce qui est proposé par les clubs c'est des etudes tres specialisées, avec tres peu de debouchés, faut pas le perdre de vue. Des mecs comme Simon (docteur en medecine) ou Accoceberry (docteur en pharmacie) on n'en verra plus jamais!
Dire que pr les clubs l'aspect scolaire prime sur l'aspect sportif c'est quand meme mensonger.
L'ASM ou le ST ne sont pas là pr former des ingés, il sont là pour former des rugbymen, faut pas non plus exagérer! la qualité 1ere d'un jeune du centre de formation de l'ASM c'est pas qu'il ai la tete bien pleine, c'est qu'il soit tres bon au rugby! Ton jeune de l'ASM, qui d'apres toi base son centre de formation plus sur les resultats scolaires que sportifs, s'il a 19 de moyenne en cours et que des mauvais matches le week end, il n'ira jamais plus loin que ça et on le lui fera comprendre tres tot, ne sois pas de mauvaise foi!
Ne soyons pas naïfs: si les clubs de rugby couplent des ecoles aux centres de formation, c'est pr que les parents y envoient leurs gosses! pour pas que les parents disent "non tu n'arreteras pas l'ecole pr jouer au rugby, c'est trop aleatoire et meme en reussissant tu ne gagneras pas assez ds ta carriere pr en vivre apres". C'est une condition permettant d'avoir des jeunes au sein du club à plein temps, c'est tout. Et si ça n'existe pas en foot, c'est parce que les salaires permettent aux mecs de vivre une vie entiere sur la base de 10 ans de carriere, c'est tout.
en disant que les clubs sont plus interessés par la reussite scolaire que sportive, tu es soit hypocrite, soit naif...Ces ecoles sont plus un moyen d'attirer les talents que de leur donner une formation scolaire ou universitaire.
Et tu ne prend que les exemples de clubs comme l'ASM ou le ST, qui sont assez gros pour integrer une ecole à leur centre, et assez influents pr negocier avec l'université de leur ville des horaires et cours amenagés pr leurs meilleurs espoirs qui souhaitent une formation universitaire (Buttin est brillant au rugby, et c'est pr ça que le club prend la peine de lui negocier des horaires adaptés ds une ecole "exterieure", ça n'est pas fait à tout le monde). Mais à Agen? A Bourgoin? A Brive? Pas les moyens d'integrer une ecole au club, et si les types reçoivent une formation "exterieure", elle sera par defaut au choix ds les rares iut ou bts de la ville, ils ne disposent pas de l'offre qu'il y a ds les grandes villes universitaires. On ne parle meme pas des clubs de proD2 (Si, Bourgoin, mais l'ASBJ forme tellement que j'ai voulu le citer, et puis il est en proD2 depuis seulement 6mois) comme Albi, Dax.
Il ne faut pas faire d'angelisme: ds ma fac un mec jouait ds l'equipe de la ville (federale 1), et son emploi du temps sportif etait systematiquement en collision avec celui de la fac. il faisait deplacer ses TP, ratait des cours, etc. En fed1, où on lui demandait moins de dispo qu'en pro ou en centre de formation! S'il avait été ds un club de top14, il n'aurait tout simplement pas pu suivre les etudes qu'il suit aujourd'hui, et je peux assurer que le club de rugby n'etait pas ravi qu'il saute des entrainements pr passer ses exams!!!
pour un club professionnel de sport, le plus important c'est, aussi bizarre que ça puisse paraitre...le sport! le reste c'est pr enjoliver
Revenir en haut Aller en bas
DOMI
TOP 14
DOMI


Féminin
Nombre de messages : 2897
Age : 61
Localisation : extrème sud
Club supporté : SF
Date d'inscription : 06/11/2007

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyDim 27 Nov 2011 - 14:48

Faut pas exagérer non plus dans l'autre sens Arnal !

Si un jeune veut faire des études en parallèle d'un sport ou d'une passion qui lui prend beaucoup de temps, il peut demander à passer ses diplômes avec un aménagement !
Il mettra plus d'années qu'un étudiant "normal" mais rien ne l'empêche si il en a l'envie
de faire des études d'ingénieur.. de médecin..
C'est d'ailleurs de cette manière que les "anciens" joueurs ont passés leurs diplômes !


Pour exemple, ma petite cousine à une passion les échecs !!
Elle fait des tournois tout au long de l'année dans le monde.

Quand elle est entrée en 1ère au lycée comme ça devenait compliqué à gérer.. elle a demandé à faire le programme de 1ère sur 2 ans afin de continuer ses compétitions.
Et ça marche bien pour elle !
Revenir en haut Aller en bas
arnal 2487
Crabos
arnal 2487


Masculin
Nombre de messages : 636
Age : 39
Localisation : Dans la campagne
Club supporté : University of Florida Rugby Football Club, Stade Toulousain, SU Agen, Union Bègle-Bordeaux, CA Périgueux
Date d'inscription : 10/05/2011

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyDim 27 Nov 2011 - 19:08

bien sûr que ça existe, evidemment! Seulement là on ne parle pas de quelque chose qui prend bcp de temps, mais d'un metier, donc de l'aspect principal de la vie de ces gens, de la chose qui mobilise leur temps, leur attention et leurs ressources physiques et mentales. quand un jeune voit se profiler par son potentiel une carriere de haut niveau dans laquelle on gagne bien sa vie (les echecs ne permettent pas de pouvoir se passer d'un metier plus tard je pense), alors la tentation est immense de se jeter corps et ames dedans. Quelles formations suivent les grands espoirs du rugby actuel? les Doussain, les Gimenez, les Chavancy, les Wisniewski, Galan? ingé, medecins, diplomates? Ce que les clubs offrent, ce sont des formations basiques liées au rugby, ds lesquelles seules quelques personnes auront un debouché. Pour le reste, il faut que les types aient la tete sur les epaules et soient tres solides pour encaisser les charges de travail sportives et universitaires (meme amenagées), surtout à un age où on pense plus à profiter de ce que peut amener le statut de sportif pro qu'à s'enfermer pr bosser ses cours sitot l'entrainement fini. C'est humain
Et desolé de te contredire, mais un rugbyman en centre de formation ne peut pas faire medecine, ni pharma, ni n'importe quelles etudes qui demandent un concours d'entrée à maximum 25% de recus puis un travail hospitalier quotidien avant d'etre interne (car un interne est etudiant et non medecin) et de bosser 70h par semaine. Les charges de travail sont tout simplement incompatibles avec les exigences du sport professionnel de haut niveau. On ne peut pas tout faire malheureusement, sauf quelques rares cas, admirables. Mais la majorité des types n'aura rien à la fin de la carriere, ou pas grand chose...Heureusement le rugby est resté assez "esprit de clocher" pour que les joueurs decrochent contrat et plassous dans leurs villes grace aux relations tissées en club, mais pr combien de temps encore?
Revenir en haut Aller en bas
Gorkh
Benjamin
Gorkh


Masculin
Nombre de messages : 248
Age : 39
Localisation : Montrouge
Date d'inscription : 29/11/2010

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyLun 28 Nov 2011 - 1:38

Je m'immisce vite fait dans la discussion pour donner un ou deux éléments :
Wisniewski a ouvert une centre de soin du corps avec sa compagne il y a peu. Chavancy, l'année dernière, était encore en étude : un truc de marketing ou de commerce si je ne m'abuse dans une classe où il ne cotoyait pas que des sportifs.
Je ne peux pas te répondre pour les autres mais, je trouve qu'à leurs âges, ils en sont à un parcours scolaire classique pour Chavancy et à un parcours professionnel plutot sympathique pour Wisniewski (tout le monde ne peut pas ouvrir une boite à 26 ans).
Je crois que tu noircis le tableau arnal car ce que les joueurs perdent en formation "continue", ils le gagnent en réseau et en visibilité.
Revenir en haut Aller en bas
Thaddeus
Modérateur
Modérateur
Thaddeus


Masculin
Nombre de messages : 13849
Age : 50
Localisation : Cugnaux
Club supporté : Toulouse
Date d'inscription : 05/01/2009

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyLun 28 Nov 2011 - 12:23

Je pense que la vérité est entre les deux : avec le professionalisme, on se rend quand même compte que les études des joueurs sont plus basiques et moins poussées : beaucoup de trentenaires ont des niveaux d'études bac+5 (Skrela, Jauzion, Dusautoir etc), mais dans la jeune garde, je constate que c'est plutôt des études à bac+2. Avant, les études permettaient de se reconvertir après la carrière pro, maintenant, ça semble être juste un parapluie, au cas où... (genre si ma salle de sport ou si mon restau ne suffisent pas, ou s'ils périclitent..), ou que ces études sont un bagage minima pour gérer ces établissements ouverts pendant leur carrière sportive.
Revenir en haut Aller en bas
Gorkh
Benjamin
Gorkh


Masculin
Nombre de messages : 248
Age : 39
Localisation : Montrouge
Date d'inscription : 29/11/2010

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyLun 28 Nov 2011 - 16:41

Tout à fait. En meme temps, allier une carrière professionnelle avec des études supérieures (pas qu'un simple bac +2, voire meme un +5) n'est pas non plus si facile que ça. Cela demande de la motivation mais aussi de la passion. Or quand on vous offre grace à votre sport/métier des opportunités pour créer votre propre business + les possibles reconversions dans les médias voire, l'entrainement, il est sans doute difficile de se concentrer tant que ça.
Revenir en haut Aller en bas
Expat 44
H-Cup
Expat 44


Masculin
Nombre de messages : 4114
Age : 80
Localisation : Chapel Hill (USA)
Loisirs : ski alpin, ski de fond, randonnee, jazz, cuisine
Club supporté : CAL (Universite de Californie a Berkeley), PUC, XV de France, et les Sorfettes
Date d'inscription : 03/01/2008

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyLun 28 Nov 2011 - 16:55

Voici un article du Pope Center sur le sujet de reference...
"An Athletic Dilemma

The biggest games in college sports aren’t always played on the field.

By Jay Schalin


Comments
January 05, 2009

It’s
an ages-old question—one as old as the athletic scholarship itself: are
college athletes on scholarship primarily students, bound by the same
rules and driven by the same motivations as their classmates? Or are
they more like hired mercenaries, brought in to do a specific job of
great value to the university, and students second—or perhaps not at
all?

Universities will surely claim that athletes are indeed
students first, but their behavior often suggests otherwise. The failure
to make the distinction clear, and to act accordingly, hurts higher
education’s credibility.

Two recent newspaper investigations
indicate that, in the two major revenue-producing sports of men’s
basketball and football, the classroom is not the players’ strong suit.
The evidence presented by the Atlanta Constitution-Journal (Dec. 27, 2008), concerning SAT scores and graduation rates, combined with a November USA Today article
about student-athletes’ choices of majors, suggests that many of the
nation’s universities are complicit in a system that is basically
unethical—students are admitted with credentials that do not even begin
to approach the standards of other students, they are directed toward
meaningless courses, and they either do not graduate or they receive
degrees with little value.

The Atlanta Journal-Constitution
report compared SAT scores of regular students, all athletes, and
athletes in men’s basketball and football at 54 of the most athletically
competitive major public colleges. The newspaper found that
“nationwide, football players average 220 points lower on the SAT than
their classmates — and men’s basketball players average seven points
less than football players.” Other male athletes had, on average, SATs
that were 115 higher than those of football players, and female athletes
averaged scored 147 points more.

The two schools that will
play for the national football championship on January 8 demonstrate
that winning comes with a willingness to lower standards. At the
University of Florida, entering freshmen for the 2001-02 school year
averaged a combined 1236 on their math and reading SAT scores (out of a
maximum of 1600). Entering football players, however, averaged 890. At
the University of Oklahoma, the numbers were 1158 and 920.

The
same article also stated that while all athletes have a higher
graduation rate than all students (66 percent to 64 percent within a
six-year period), football players graduate only 56 percent of the time,
and male basketball players graduate at a dismal 49 percent rate.

The USA Today
article in November revealed that the recruiting policies are just the
beginning. Scholarship athletes tend to choose their college majors so
that they get the best grades for the least work—they “major in
eligibility.” This is not a new phenomenon for athletes. At a recent
Pope Center conference on athletics in higher education, Bill
Thierfelder, the president of Belmont Abbey College in Belmont, North
Carolina, used the exact same phrase to describe his academic career at
the University of Maryland in the early 1970s, when he was the national
high jump champion. He said that he, too, “majored in eligibility.”

USA Today
looked at 142 Division I schools and found that athletes tend to
“cluster” with their teammates in easy majors, often in the social
sciences, that offer little value after graduation. The article
suggested this is hardly a coincidence: it quoted one former Kansas
State University football player as saying “the athletics academics
advisors said ‘this is what everybody is doing. It’s the easiest
major.’”

A former Boise State University football player
said, “You hear which majors, and which classes, are the easiest and you
take them. You’re going to school so you can stay in sports. You’re not
going for a degree…It’s a joke.”

The Journal-Constitution
quoted Murray Sperber, a former University of Indiana professor and the
author of several books on college sports. He said “there’s a huge
world of Mickey Mouse courses and special curriculums that athletes are
steered into. The problem is there are many athletes graduating from
schools who are semiliterate.”

In one outrageous example, in
2004, an assistant men’s basketball coach (also the son of the head
coach) at the University of Georgia taught a course taken by many
players called “Coaching Principles and Strategy of Basketball.” The
final exam consisted of questions such as: “How many goals are on a
basketball court? How many points does a 3-point field goal account for
in a basketball game? Diagram the half-court line.”

Most
programs avoid demonstrating such open contempt for academics, but the
whole system seems to work on a giant collaborative wink—as if
administrators were saying in unison: “they (the athletes) aren’t
qualified to succeed academically at our school, but we pretend to teach
them, they pretend to learn, and we don’t have to pay them much. And
they give us the publicity we crave.”

It was once believed that
money was driving the system, but the work of Sperber and others has
revealed that few athletic programs actually make money.

At the November Pope Center conference,
participants cited some other basic reasons why universities are
willing to overlook the ethical dilemmas posed by big-time sports. One
is that such athletic events intrinsically get spectators to pick a
side, and since students naturally side with their own school, sports
rapidly form a bond of allegiance among the former strangers who are new
to the school.

But perhaps the main reason why administrators
are willing to sacrifice their school’s integrity is that athletic
teams have great “marketing value” for schools seeking teenage
applicants, according to Harry Lewis, a former dean of the Harvard
University undergraduate college.

Major reform from the
governing body of major college sports, the NCAA (National Collegiate
Athletic Association), is unlikely, since it is subject to the wishes of
its funding members—the colleges themselves. It has attempted to
establish standards for minimum SATs. However, the original standard of
700 points (which was changed to 820 because of changes to the tests)
was attacked for a long time by detractors who said it was too high and
unfairly excluded black athletes who came from inadequate high schools.
In response to this criticism, the NCAA moved to a sliding scale, where
weak SAT scores can be offset by high grades. For instance, an athlete
with a 2.5 grade point average (GPA) in high school must get 820 SATs,
but if he has a 3.0 GPA, he only needs a 620 test score.

Most
college athletes far exceed these standards. The majority are not on
full scholarship, but play for the love of the sport and of competition.
And even the most heralded football and basketball teams include actual
scholar-athletes, sometimes with credentials as good or better than the
rest of the student body. There are also young men and women from
disadvantaged backgrounds who take advantage of the opportunity to study
at a school they would not ordinarily be able to attend.

To
focus on such successes, however, is to deny the existence of the
problem—many athletes simply do not belong on their campuses. Much of
their learning is at the remedial level—a situation that should not be
part of a flagship state university or a prestigious private school.
Some athletes who could do well academically are funneled into similar
levels of mediocrity, in order to concentrate their time and effort on
their sport.

These athletes have a curious life—as “pretend”
students, they are, at the same time, pampered and admired for their
athletic abilities, yet secretly condemned and belittled for their lack
of academic prowess. They know they can’t (or won’t) compete in the
classroom, and the rest of the university community knows it, and that
sets them apart.

And their presence is not always benign.
Their stay is at the expense of other students, who subsidize the
athletic program with higher tuition, or of taxpayers. The gaming that
goes on to ensure their admission and eligibility is a corrupting
influence, and they can detract from the intellectual atmosphere of the
campus. They are also physically imposing, aggressive, and sometimes
antagonistic to the general student population. In one case of an
athletic program run amok, between 1997 and 2004, nine women at the
University of Colorado filed charges sexual assault charges against
football players and recruits.

Still, despite the obvious
problems, a lot of people, many influential, prefer things just the way
they are: administrators, sports fans, (some) students and alumni, local
boosters, politicians and so on. More schools are trying to get on the
big-time sports bandwagon. Here in North Carolina, N.C. Central
University left its Divison II conference of historically black colleges
in 2007 to join the big-time in Division I. UNC-Charlotte recently
chose to begin the process of developing a football team for the first
time—one that will also compete in Division I.

At the Pope Center conference, different paths to reform were proposed. Thierfelder discussed his national campaign
to convince each coach, each administrator and each athlete, one at a
time if necessary, that athletics serves a higher purpose than winning
and money. Sperber countered that the college athletics system must
confronted and combated. Others held out hope that economic pressures
will reduce the focus on college sports in general.

Another
alternative is to “spin-off” the major athletic teams, in much the way
that professors are able to “spin-off” their research with profit
potential from university-owned laboratories into private companies. The
teams could retain the “university brand,” keeping the allegiance of
students and alumni, but be separate, profit-seeking entities that can
serve the interests of all constituencies better. Schools could still
get the publicity they desire without compromising admissions and
academic standards. Athletes, if they so chose, could be paid as the
revenue-producing individuals they are, in line with other second-tier
professional sports. There could also be an agreement to educate willing
athletes who are ready for the rigors of college study.

Yet
no reform will occur until a majority of the university administrations
agree they need to change. Until then, schools are going to submit to
the pressure to field competitive teams for the sake of publicity and
recognition, even as it compromises the integrity of their mission."

Un prochain article suivra dans les jours prochains...
J'aimerais simplement indique que le probleme aux USA n'est pas le sport professionnel, mais le sport "amateur" qui promet en echange des performances sportives de ses "etudiants" un diplome de qualite garantissant un "avenir professionnel" (au sens de profession et non pas de carriere dans la NBA ou la NFL). Cette promesse est rarement tenue dans les grosses ecuries dont je parle plus haut... Mais les coaches qui recrutent les jeunes de quartiers defavorises (dont les parents sont "plus que pauvres"), eux, sont multi millionnaires... Les recrues, en general, au bout de quatre ans "d'etudes" n'ont rien... Pas de diplome qui permette d'obtenir un emploi, pas de carriere professionnelle, rien...

Je decouvre par vos commentaires que le sport professionnel en Europe est coupable egalement... Mais au moins les clubs ne se presentent pas comme des universites qui promettent une formation...
Revenir en haut Aller en bas
Kilkenny
PRO D2
Kilkenny


Masculin
Nombre de messages : 2483
Age : 42
Localisation : Alfortville dans le neuf-quatre. Ouaich, yo ziva!!!!
Loisirs : Foot, Rugby, Corridas, Lecture, Irlande.
Club supporté : Montpellier Hérault Rugby
Date d'inscription : 03/12/2007

La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA EmptyMer 11 Jan 2012 - 14:51

Un article sur le sujet des études pour les jeunes espoirs: http://sceaux.blog.lemonde.fr/2012/01/10/lyceens-et-pros-ou-presque-du-rugby/ .
Revenir en haut Aller en bas
http://liverpool-france.forumactif.com
Contenu sponsorisé





La tragedie du sport universitaire aux USA Empty
MessageSujet: Re: La tragedie du sport universitaire aux USA   La tragedie du sport universitaire aux USA Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
La tragedie du sport universitaire aux USA
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Europe 1 sport.
» esprit sport
» COACHING MENTAL SPORT : Préparateur mental pour sportifs

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Rugby XV :: La Boite à Polémiques-
Sauter vers:  
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit | Sports et Passions | Sports collectifs